jeudi 14 mai 2009

De l'utilité de lire Télérama


Dernièrement, mon cher et tendre m'a fait la réflexion suivante : "Quand on achète Télérama, on regarde quand même moins de conneries à la télévision que quand on prend le figaro du Week- end".
Et c'est vrai que grâce à Télérama j'ai découvert l'existence d'une chaîne, "TCM", qui, oh miracle, figure parmi celles que mon abonnement à "Crétin.fr" m'autorise à regarder.
Ne me demandez pas ce que "TCM" veut dire (Télé Carlo-Monté, Télérama Cartoons & Movies, Ta Copine à Maubeuge...) je n'en sais rien. En revanche, je peux vous dire que la programmation est plutôt chouette, dans le style de celle de l'émission "Cinéma de Minuit" sur France 3, ou de celle du cinéma "Action Christine" à Paris, pour ceux qui connaissent. Donc, au programme, on trouve de films de Mankiewick, Kazan, Cukor, Franck Capra, Hitchcock, Altlman, Wenders, Francis Ford Coppola, Howard Hawks, Douglas Sirk, Lubitsch, Visconti, etc.
Et comme je suis une fille sympa (et modeste aussi, si, si), je vous donne là, tout de suite, en prime (comme ils disent sur M6), trois perles que j'ai découvertes :
- "You can't take it with you" (1938), de Franck Capra, avec James Stewart : loufoque, naïf, totalement invraissemblable et moraliste à la fois (comme d'hab avec Capra) ;
- "Le sport favori de l'homme" (1964), d'Howard Hawks, avec Rock Hudson : Excellentissime ! Je vous laisse deviner de quel sport il s'agit.
- "Correspondant 17" (1940) : Un film d'Alfred Hitchcock que je n'avais jamais vu. Surprenant. Un film mysogine (l'héroïne est une gourde comme souvent avec Alfred) mais un film précurseur pour sa vision sur la liberté et l'objectivité de la presse en temps de guerre.

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