dimanche 29 janvier 2012

Le truc qui fait grossir

Ce mois-ci, j'ai testé pour vous les gaufres de Picard. On les met dans le grille-pain 3 minutes et c'est prêt.
Et c'est pas mal du tout.
Et on a plus besoin d'acheter un appareil à gaufres qui irait bientôt rejoindre ses petits camarades à la cave, à savoir l'appareil à raclette, la fontaine à chocolat, le service à fondue...

Si vous passez par l'Avenue Niel...


samedi 28 janvier 2012

Vu chez mes bobocanteurs préférés


























A défaut de mettre Paris en bouteille, ils ont mis l'Alsace en vitrine !

vendredi 27 janvier 2012

Quizz sacs

Parmi ces trois "it-bags", trouvez le sac de Brunette :

a) le sac Saint Louis de Goyard

b) le sac Kaméléon de Zapa

c) Le sac Shopping de Monoprix

Un indice : c'est le plus pratique des trois.

jeudi 26 janvier 2012

Le comble de la radinerie...

Emprunter le "Paris pas cher" à la bibliothèque !

mardi 24 janvier 2012

La croisière ne s'amuse plus !

D'après Télérama, hier soir sur France 3, il devait y avoir ça :

A la place, on a eu ça :

NB : Je suis pas sûre que l'on ait perdu au change.
NB bis : J'imagine que même chez Télérama, il y a certains jeux de mots que l'on regrette d'avoir faits.

lundi 23 janvier 2012

Révisons les contraires avec Pittau & Gervais





Les enfants adorent et se réjouissent à l'idée de lire les autres livres aux titres évocateurs:



dimanche 22 janvier 2012

Le vilain petit canard au pays des soviets


Note : BB
Public : de 3 à 103 ans
Aujourd'hui, nous avons emmené les enfants au cinéma voir "le vilain petit canard" de Gari Bardine. C'est une adaptation assez libre du conte d'Andersen. Pour faire court, c'est une comédie musicale dont les personnages (une basse-cour au complet) sont en pâte à modeler. Ils se trémoussent et chantent sur la musique du lac des cygnes de Tchaïkovsky. Notre fils, qui n'a que quatre ans, a eu du mal à rester concentré.Le film dure quand même une heure et quart. Mais les mamies assises derrières nous se sont drôlement bien amusées.

Observation  personnelle de Monsieur Brunette :  Ga Bardine, c'est un pseudo  ?

samedi 21 janvier 2012

Quesako Proenza & Schouler ?


D'abord, j'ai cru qu'il s'agissait des noms des lieutenants de la série policière "The closer L-A : enquêtes prioritaires". Vous savez, c'est la série qui passe sur France 2, dont  l'héroïne, le chef adjoint Brenda Johnson, est super casse-bonbon mais aussi super forte, vu qu'à la fin de l'épisode elle met toujours les méchants sous les verrous. Bon, mais c'est pas ça.

Après, j'ai pensé à une marque de shampoing anti-pelliculaire, mais c'est pas ça non plus.

Je suis donc allée sur internet, et sur le site d'Arte, j'ai pu lire l'extrait d'un documentaire réalisé sur eux par Loïc Prigent :
"Leur nom vous est sans doute inconnu et pourtant, le simple fait de le prononcer déclenche des émeutes pendant la semaine de la mode à New York. Jack McCollough et Lazaro Hernandez se sont rencontrés à l’école. « Proenza Schouler » sont les noms de jeune fille de leurs mamans respectives.
Comme ils ne disposent pas pour l’instant pas de budget mannequins, elles sont donc rémunérées en vêtements, chaussures et sacs. Repérés par Anna Wintour, rédactrice en chef de Vogue (USA) ayant la réputation d’un diable portant du Prada, ils obtiendront une bourse qui leur permettra de faire leurs premières collections. Ils ont connu une ascension fulgurante sur la scène de la mode américaine. Depuis le début, la presse les a soutenu et a crié au génie !

POURQUOI FAITES-VOUS DE LA MODE ?

Jack McCollough : Pourquoi fait-on de la mode ? … hum…
Lazaro Hernandez : Parce qu’on a peur de faire de l’art.
Jack : C’est ça, j’avais peur d’être un artiste mais je voulais garder un pied dans ce monde fou.
Lazarro : L’art, c’est sans doute trop inabordable, alors la mode est
une sorte de compromis entre quelque chose qui n’est pas de l’art mais qui n’est pas qu’un produit non plus. Ça nous aide à nous exprimer, à exprimer notre créativité, à donner notre vision du monde, c’est « designer » des choses.
Jack : La mode, c’est un croisement de plusieurs choses. Ce n’est pas quelque chose qui me fascinait avant la fac. Je voulais être peintre ou sculpteur.
Lazaro : Jack avait une toute autre vision de la vie à cette époque !

Jack : Oui, j’étais plus punk et rebelle que ça. J’étais le vrai rebelle, un peu grunge, un peu crade. J’avais des dreadloks sur mon torse, ce genre de choses (rire). Donc je ne savais même pas que la mode existait. Je vivais dans un autre monde. Mais la mode m’amuse. Pour l’instant…"
Bon, ben si avec tout ça vous n'arrivez pas à briller dans les dîners mondains ....

vendredi 20 janvier 2012

La mode, la mode, la mode (bis)


Spécialement pour Alain, l'image extra-large de la collection Chanel Croisière  2011-2012

jeudi 19 janvier 2012

La mode, la mode, la mode ....



Cette collection là, elle va pas être facile à vendre !

La rubrique "Quesako ?"

Autant vous le dire tout de suite, mes connaissances en matière de mode, beauté, ou produits "high tech" sont restées bloquées aux années 90. Et si vous pensiez le contraire, c'est que vous vous êtes trompés de blog. D'où il m'arrive d'entendre parler de quelque chose ou de quelqu'un et de ne vraiment pas savoir de quoi il s'agit. Alors là, soit mon regard devient aussi intelligent que celui d'un lapin ébloui par les phares d'une voiture, soit j’enchaîne les gaffes. Mais comme je suis une chic fille, j'ai décidé de créer une rubrique "Quesako?" pour  vous briefer sur les sujets (ô combien nombreux !) de mon ignorance.

mercredi 18 janvier 2012

Ma tournée des bistrots


Mercredi : "Les enfants gâtés", 7 rue Cardinet, avec les enfants, pour le goûter.
Jeudi : " Le diplomate", à l'angle de la rue des Renaudes et du boulevard de Courcelles, avec ma petite soeur, après la chasse aux soldes.
Vendredi : "Le Week-end", 91 avenue de Wagram, chez ma copine Katia, au retour du marché et avant le week-end.
Samedi : "Le bistrot des dames", 18 rue des dames, avec Poulette de Flandres et Tata Nono, pour s'y retrouver après le cinéma  entre dames de bonne compagnie !
Dimanche : "Le Starbucks Coffee", à l'angle de la rue de Berri et de la rue de Courcelles, après une virée sur les Champs Elysées (bon, là ça se gâte un peu, mais le dimanche,  y'a pas grand chose d'ouvert dans le quartier...)

lundi 16 janvier 2012

Vu dans le Figaro TV magazine



C'est vrai que 350 m² pour deux, c'est un peu juste. Alors s'il y a des enfants en plus !
Va falloir songer à changer de voiture aussi, parce ce que c'est pas facile de fixer un siège bébé dans une Ferrari.

NB : Si TV Magazine cherche une journaliste, moi aussi je sais faire des fautes d'orthographe.

dimanche 15 janvier 2012

Mon Paris 2012 - première étape: le premier arrondissement

Pour les parisiens, le premier arrondissement c'est avant tout le Louvre qui se prolonge par le jardin des Tuileries, la rue de Rivoli et ses palaces qui jouxtent les boutiques de cadeaux pour touristes, la rue Saint Honoré et ses boutiques de luxe et la place Vendôme et ses célèbres bijouteries. C'est aussi la Comédie Française, le jardin du Palais Royal, le Conseil d'Etat, la Banque de France... Bref un condensé d'histoire et de luxe.
Quand j'étais jeune, à l'exception d'une ou deux visites marathon avec mon oncle au musée du Louvre, je n'allais jamais dans ces quartiers très connus du premier arrondissement. En fait, j'allais surtout dans le quartier branché de Saint Eustache. C'est donc tout naturellement là que je suis retournée avec ma petite famille et mon appareil photo.
Après avoir garé la voiture au parking de la Place René Cassin, nous avons émergé devant l'église Saint Eustache, dont la façade m'a semblée en bien meilleur état que dans mon souvenir.
Nous avons ensuite pris la rue Montmartre, toujours aussi sale après le marché du Dimanche matin.
Ensuite nous sommes allés dans la jadis célèbre rue du jour, celle où dans les années 90 les boutiques de jeunes créateurs de mode fleurissaient. C'était plutôt tristounet, avec les magasins en liquidation et les baux à céder. Restent l’indétrônable boutique d'agnès b., qui a fait des petits avec "agnès b. homme", "agnès b. voyage",  "agnès b. layette", "agnès b. chiens et chats" (non là je m'égare), et la toute aussi indétrônable caserne des pompiers qui lui fait face.






Néanmoins si vous êtes un jeune créateur plein de talent qui cherche un endroit pour monter son show room, j'ai repéré pour vous une alléchante offre de bail !
Nous avons pris ensuite la rue de la coquillière, avec ses restaurants plus ou moins historiques,
puis nous avons remonté la rue du louvre pour bifurquer dans la rue Etienne Marcel.
Au numéro 49 de la rue Etienne Marcel se trouve une étrange boutique, dont la vitrine est remplie de centaines de vieilles machines à coudre.

Renseignements pris sur la toile, il ne s'agit pas d'un musée de la machine à coudre mais d'une boutique de vêtements anglaise "AllSaints Spitafields", qui a décidé de faire de l'architecture commerciale l'un des points forts de sa stratégie commerciale. Ne me demandez pas à quoi ressemblent leurs fringues vu qu'avec toutes ces machines à coudre dans la vitrine, il  n'y a plus de place pour exposer des vêtements, ne serait-ce qu'un pauvre slip !

Nous avons remonté la rue jusqu'à la place des Victoires, et là Monsieur Têtu a commencé à râler. C'est bien les rallye-photos mais lui, ce qu'il préfère c'est les bistrots ! Nous avons pris la rue Croix des Petits Champs pour faire une halte au café Blanc à l'angle de la rue du Colonel Driant. L’accueil est très sympa, le moelleux au chocolat avec crème anglaise tout à fait comestible, les prix plutôt corrects pour le quartier et le cadre parfait pour initier les enfants à l'art du bistrot parisien !


Une fois requinqués, nous sommes retournés au forum des halles. Les halles sont en plein chantier mais, par bonheur, un espace de jeux pour les enfants a été préservé. Poulette de Flandres et Monsieur Têtu ont pu joyeusement rouler sur la pelouse synthétique et tester le bateau pirate. Après s'être bien défoulés, ils étaient mûrs pour retourner dans la voiture direction la maison.

samedi 14 janvier 2012

La colline aux coquelicots

Note : BB (bien, bien)

Cet après-midi, je suis allée voir avec Poulette de Flandres "la colline aux coquelicots", la dernière production du studio Ghibli. 
Le film n'a pas été réalisé par  Hayao Myazaki,  mais par son fils, Goro. On est donc loin de l'univers féerique de "Ponyo sur la Falaise" ou du "Voyage de Chihiro" ou du conte pour enfant comme "Kiki la petite sorcière" ou "mon voisin Totoro". C'est l'histoire d'Umi (une fille) et de Shun (un garçon) qu'un combat  commun pour sauver le foyer des étudiants va d'abord rapprocher avant qu'une histoire d'adoption un peu compliquée ne les sépare...
Ce film s'adresse plus aux nostalgiques de l'université ou aux adolescents attardés qu'aux enfants, et il plaira sans doute plus aux filles qu'aux garçons. Il s'inspire d'ailleurs d'un "shojo" (manga pour filles). Mais, j'ai passé un très bon moment avec Poulette de Flandres, même si elle n'a pas tout compris au film et a essuyé quelques larmes à la fin.

mercredi 11 janvier 2012

Petites phrases à méditer...ou pas !



Petites phrases entendues sur France Inter, à méditer ... ou pas :

- Dans l'émission de François Busnel "Le grand entretien" du 9 janvier :
Claude Lelouch : "J'ai connu une époque où les gens pleuraient, maintenant ils pleurnichent, j'ai connu une époque où les gens riaient, maintenant ils ricanent..."

- Dans l'émission d'Isabelle Giordano "Les affranchis" du 10 janvier :
Mathilde Seigner : "Ma soeur aînée dit que je pense tout haut."
Isabelle Giodano: "Eh ben, elle a raison."

mardi 10 janvier 2012

Mon "Paris" en 2012



Mon pari en 2012, c'est d'aller chaque mois dans un arrondissement différent de Paris. De m'y ballader seule ou en famille. De prendre des photos et de faire ensuite un rapport sur le blog. J'ai mis quatre ans à bien connaître mon quartier et je crois que je suis maintenant prête à franchir les limites de l'arrondissement, tels les explorateurs à la conquête de nouveaux territoires! Je suis bien préparée psychologiquement et physiquement (j'ai couru deux fois 10 minutes au parc Monceau depuis septembre 2011) et je n'ai pas non plus négligé l'aspect matériel : j'ai des tickets de métro, un plan "Paris pratique par arrondissement" presque neuf, un portable, des barres ovomaltine, des petites bouteilles d'eau et des chaussures tous terrains neuves. Bon ben, y'a plus qu'à...

lundi 9 janvier 2012

Quizz cinéma


Dans le film "Le petit monde des Borrowers", qui joue le rôle du policier ?

Un indice : Pour paraphraser Christophe Hondelatte, "c'est pas Mickey Mouse".

dimanche 8 janvier 2012

Apostrophe ... le retour !

Finalement, j'ai lu tous les livres, pardon les BD et le journal, empruntés l'autre jour à la bibliothèque. Et tant qu'à faire, je vais vous donner mon opinion sur ces ouvrages. Avant tout, je tiens à préciser que, tels Télérama et Standard & Poor's, j'ai mon système de notation :
B - = Beurk 
B = Bof
BB = Bien Bien 
BBB = Bravo Bravo Bravo

1) "Cadavre Exquis" de Pénélope Bajeu aux éditions Gallimard
Note : B
J'aime bien le graphisme très personnel de Pénélope Bajeu, mais je trouve le scénario un peu faible. Je ne dois pas être dans la cible, sûrement plus jeune ou plus bobo parisienne que moi.

2) "Quai d'Orsay, chroniques diplomatiques, tome I" de Blain & Lanzac aux éditions Dargaud
Note : BBB
Au départ, j'ai été un peu rebuté par les dessins. Je trouvai que le personnage d'Alexandre Taillard de Worms, censé être Dominique de Villepin, ne lui ressemblait pas beaucoup. Mais finalement le graphisme est génial car il correspond parfaitement à la gestuelle et au dynamisme du personnage. Le scénario est très bien écrit et pour cause, puisque sous le pseudo de Lanzac se cache le sbire qui écrivait les discours de Dominique de Villepin. Blain et Lanzac réussissent la prouesse de nous intéresser et de nous faire rire avec un sujet aussi ardu que la préparation des discours d'un ministre des affaires étrangères. Il me semble avoir vu dans les annonces immobilières parisiennes que l'hôtel particulier de Monsieur de Villepin était à vendre. Après avoir lu  "Quai d'Orsay", je serais presque tentée de visiter les lieux rien que pour vérifier l'état des gonds des portes !

3) "Pom d'Api" numéro de décembre 2011 aux éditions Bayard
Note : BB
Je l'avoue, je n'ai pas lu les "24 histoires pour attendre et fêter Noël". Mais, d'après mon nègre (Poulette de Flandres), elles étaient très bien. J'ai bien aimé l'histoire de Sam Sam et Monsieur Têtu a plébiscité l'histoire de Petit Ours Brun.